SORTIE AU COL DE L’IZOARD LES 13 ET 14 FEVRIER 2015

Randonnée au pays de l'or blanc pour 18 adhérents de l'Association Alpes Regards 05

En début d'après-midi, départ du petit hameau du Laus direction le refuge Napoléon. Les groupes des marcheurs se répartissent sur la belle trace blanche du col. Chacun à son rythme, l'ascension se poursuit. Laurent, grand sportif part en courant, les autres sur une allure plus tranquille.
Accueil sympathique au Refuge, une pièce bien chauffée et de généreuses théières nous attendent. Quelques tables de jeux s'organisent avant la découverte des chambres où chacun apprécie le soin apporté à la décoration et au mobilier.
Le groupe se retrouve pour partager un apéritif et un succulent repas terminé par un impressionnant choix de gâteaux.
Pour les intrépides, Pierre propose une montée au Col. Sous la neige et une température relativement clémente, le sommet du Col est rallié. Le brouillard et la neige font une ambiance ouatée, on devine à peine « l'obélisque » du sommet.
Au retour, on retrouve les couettes chaudes et l'ambiance feutrée des chambres. Cependant, quelques noctambules rencontrent, comme par hasard, une petite liqueur verte qui retarde leur rendez-vous avec le sommeil.
Le lendemain, un petit-déjeuner copieux aux saveurs d'enfance avec le pain perdu nous met en condition pour redescendre sous la neige. Direction le restaurant de Cervières pour un bon repas aux saveurs alpines, puis c'est la découverte de la « Maison des Bêtes à Laine » avec le troupeau et les travaux autour de la laine. Tonte, cardage, filage nous sont expliqués par des agriculteurs passionnés par leur métier.
Mais toutes les bonnes choses ayant une fin, il faut redescendre à la gare de Briançon pour le départ des gapençais.
Des moments inoubliables de convivialité et de belles rencontres, de conversations et de rires partagés. On peut dire qu'à l'occasion de ce vendredi 13, les membres d'Alpes Regards ont gagné le gros lot de l'amitié et du partage. Gagné au grattage et au tirage des valeurs non monnayables mais inestimables. De celles qui font la vie…

Evelyne